Ressources

Bibliographie, articles de presse, biographies, textes, témoignages écrits, catalogues, photographies, films… Chercheuse et chercheur, étudiante et étudiant, ou simple amateur et amatrice d’art, retrouvez ici toutes les sources, ressources et données sur Ipoustéguy.

Ouvrages

Ouvrages sur Ipoustéguy et son œuvre

Couverture du livre Ipoustéguy Chirurgie par Françoise Monin

Ipoustéguy - L'Oeuvre Sculpté, Catalogue Raisonne

Éditions de la différence, 2000

Couverture du livre Ipoustéguy Chirurgie par Françoise Monin

Pascal Odile et Flavio Arensi, "Ipoustéguy, Eros + Thanatos"

Milan, Allemandi & C., 2008

Xiao Sheng, Jinri Shijie Yishu, "Yepusiteji"

Ling Nan (Rép. Chine), Éditions d’Art, 2004

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Depuis 2001 le visiteur se confronte à 40 œuvres majeures de l’artiste et à leur puissance expressive : bronzes monumentaux, marbres intimistes ou œuvres graphiques épurées.

Né en 1920 à Dun-sur-Meuse, Ipoustéguy voit de son vivant ses œuvres entrer dans les plus importantes collections publiques du monde : Tate Britain, Guggenheim, Kunsthalle, Pompidou…, et ses sculptures monumentales installées dans les grandes capitales artistiques : Tokyo, Washington, Paris, Berlin…

Attaché à son « pays » natal, Ipoustéguy, à la fin de sa vie, choisit de revenir sur les lieux de son enfance. Les autorités locales (Communauté de communes et Conseil général en tête) lancent alors un pari fou : créer un centre d’art au cœur d’une zone rurale. Ce sera le « Centre culturel Ipoustéguy ». Refusant d’y rayonner seul, l’artiste obtiendra que des salles d’exposition s’ouvrent à d’autres arts et artistes.

De la Galerie, la visite peut se prolonger à l’Église de Dun-Haut : dans cet écrin du XIVe siècle, attendent – dans le silence et la clarté – deux œuvres mystiques de bronze et de marbre. Point d’orgue bouleversant pour le simple promeneur comme l’inconditionnel d’Ipoustéguy.

Bronze, marbre, Ipoustéguy, par Alain Bosquet

Alain Bosquet, "Bronze, marbre, Ipoustéguy"

Paris, Éditions La Différence, 1995

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 » Pour justifier cet accompagnement de dessins (de desseins) à propos d’œuvres si soumises à la pesanteur, il pourrait être dit qu’ils sont là… parce qu’ils sont les germes tout justes éclos de ce passage du virtuel au matériel qui caractérise le processus du sculpteur. (Mon goût pour le dessin est qu’il s’agit pour moi, nativement, du tout premier accès à la connaissance.)  » (Ipoustéguy Lettre à Alain Bosquet) (25 janvier 1994)

Qu’est-ce que la sculpture ? Que suscite-t-elle dans l’esprit et la sensibilité d’un être ? Où sont ses prestiges et ses limites ? Que peut-elle devant le déferlement des images ? Alain Bosquet s’interroge, en prenant pour viatique l’œuvre de jean Ipoustéguy. Ce sculpteur français, plus célébré hors de nos frontières que chez nous, se prête à des interprétations multiples. Il est non seulement inspiré, mais il inspire. Ce petit livre n’est ni une étude systématique ni un traité, mais une suite de réflexions face à une œuvre prodigue en mystères.

Couverture du livre Ipoustéguy parlons d'Évelyn Artaud

Evelyne Artaud, "Ipoustéguy, parlons..."

Paris, Cercle d’art, 1993

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Ipoustéguy est l’un des nos plus grands sculpteurs français. Résolument figuratif, profondément humaniste, sa préoccupation essentielle est l’homme : L’homme aux prises avec les difficultés du réel, c’est l »‘homme passant la porte »; l’homme déchiré par d’insensées souffrances, ce sont « scène comique de vie moderne » et le « Val de Grâce »; l’homme en proie à sa mémoire, c’est la récente série des « jeunes filles ».
Mais à côté de cette vision tragique, l’œuvre célèbre aussi le bonheur : l’homme rayonnant et en marche, « L’homme »; la femme épanouie et maternelle, « La terre »; la poétesse triomphante portée par les échos de son chant, « Louise Labé », installée place de l’opéra à Lyon; une nature harmonieuse, « aquarelles, paysages, fruits ombrés », une mémoire fière et citoyenne « Bara, Viala, Robespierre »…

Michaël Lipp, "Das plastische Werk, 1940-1992"

Mainz, Gutenberg Universität, 1992

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Depuis 2001 le visiteur se confronte à 40 œuvres majeures de l’artiste et à leur puissance expressive : bronzes monumentaux, marbres intimistes ou œuvres graphiques épurées.

Né en 1920 à Dun-sur-Meuse, Ipoustéguy voit de son vivant ses œuvres entrer dans les plus importantes collections publiques du monde : Tate Britain, Guggenheim, Kunsthalle, Pompidou…, et ses sculptures monumentales installées dans les grandes capitales artistiques : Tokyo, Washington, Paris, Berlin…

Attaché à son « pays » natal, Ipoustéguy, à la fin de sa vie, choisit de revenir sur les lieux de son enfance. Les autorités locales (Communauté de communes et Conseil général en tête) lancent alors un pari fou : créer un centre d’art au cœur d’une zone rurale. Ce sera le « Centre culturel Ipoustéguy ». Refusant d’y rayonner seul, l’artiste obtiendra que des salles d’exposition s’ouvrent à d’autres arts et artistes.

De la Galerie, la visite peut se prolonger à l’Église de Dun-Haut : dans cet écrin du XIVe siècle, attendent – dans le silence et la clarté – deux œuvres mystiques de bronze et de marbre. Point d’orgue bouleversant pour le simple promeneur comme l’inconditionnel d’Ipoustéguy.

Couverture du livre Un Simple Regard essai sur l'Art de John Updike

John Updike, "Un simple regard. Essai sur l'art"

Paris, Pierre Horay, 1990
pp. 133-147

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On connaît la pertinence de John Updike, critique littéraire.

Voici maintenant le regard qu’il porte sur l’art.

A travers 22 essais somptueusement illustrés, l’auteur de « Rabbit » et de « Couples » nous guide avec humour et subtilité vers les cîmes de chacun des chefs-d’œuvre qui ont droit ici à son Regard.

Tableaux, sculptures et gravures sont choisis et commentés par la grâce d’un chaleureux mélange de savoir et d’imagination: « Le grand nu » de Modigliani, l’espiègle « Japonaise » de Monet, la fameuse « Vue de Delft » de Vermeer, les « Cabines téléphoniques » de Richard Estes, ainsi que les grandes expositions, Renoir au musée de Boston, Andrew Wyeth et sa trop célèbre Helga.

Une pensée pour Adam et Eve qui ont fait accepter le nu au Moyen-Age.

Devant une estampe de Chôki, Updike rêvasse aux lucioles de son enfance et s’attarde longuement sur l’oeuvre d’Ipousteguy « qui pourrait bien être le plus grand sculpteur français vivant », avant de conclure par une réflexion sur la nature de l’écrivain artiste, illustrée par quelques uns de ses propres dessins.

Ce livre, qui suscita l’enthousiasme de la critique new-yorkaise offre un aspect inédit des multiples talents de l’un des écrivains les plus prestigieux de la littérature américaine.

Couverture du livre Ipoustéguy, par Pierre Gaudibert

Pierre Gaudibert, "Ipoustéguy"

Paris, Cercle d’art, 1989

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Depuis 2001 le visiteur se confronte à 40 œuvres majeures de l’artiste et à leur puissance expressive : bronzes monumentaux, marbres intimistes ou œuvres graphiques épurées.

Né en 1920 à Dun-sur-Meuse, Ipoustéguy voit de son vivant ses œuvres entrer dans les plus importantes collections publiques du monde : Tate Britain, Guggenheim, Kunsthalle, Pompidou…, et ses sculptures monumentales installées dans les grandes capitales artistiques : Tokyo, Washington, Paris, Berlin…

Attaché à son « pays » natal, Ipoustéguy, à la fin de sa vie, choisit de revenir sur les lieux de son enfance. Les autorités locales (Communauté de communes et Conseil général en tête) lancent alors un pari fou : créer un centre d’art au cœur d’une zone rurale. Ce sera le « Centre culturel Ipoustéguy ». Refusant d’y rayonner seul, l’artiste obtiendra que des salles d’exposition s’ouvrent à d’autres arts et artistes.

De la Galerie, la visite peut se prolonger à l’Église de Dun-Haut : dans cet écrin du XIVe siècle, attendent – dans le silence et la clarté – deux œuvres mystiques de bronze et de marbre. Point d’orgue bouleversant pour le simple promeneur comme l’inconditionnel d’Ipoustéguy.

Couverture du livre Ipoustéguy, par Pierre Gaudibert

Herbert Read, "Histoire de la sculpture moderne"

Paris, Arted Éditions d’art, 1985

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Depuis 2001 le visiteur se confronte à 40 œuvres majeures de l’artiste et à leur puissance expressive : bronzes monumentaux, marbres intimistes ou œuvres graphiques épurées.

Né en 1920 à Dun-sur-Meuse, Ipoustéguy voit de son vivant ses œuvres entrer dans les plus importantes collections publiques du monde : Tate Britain, Guggenheim, Kunsthalle, Pompidou…, et ses sculptures monumentales installées dans les grandes capitales artistiques : Tokyo, Washington, Paris, Berlin…

Attaché à son « pays » natal, Ipoustéguy, à la fin de sa vie, choisit de revenir sur les lieux de son enfance. Les autorités locales (Communauté de communes et Conseil général en tête) lancent alors un pari fou : créer un centre d’art au cœur d’une zone rurale. Ce sera le « Centre culturel Ipoustéguy ». Refusant d’y rayonner seul, l’artiste obtiendra que des salles d’exposition s’ouvrent à d’autres arts et artistes.

De la Galerie, la visite peut se prolonger à l’Église de Dun-Haut : dans cet écrin du XIVe siècle, attendent – dans le silence et la clarté – deux œuvres mystiques de bronze et de marbre. Point d’orgue bouleversant pour le simple promeneur comme l’inconditionnel d’Ipoustéguy.

Couverture du livre Staaliche Kunsthalie de Dir Dieber Ruckhaberle

Dir. Dieter Ruckhaberle, "Ipoustéguy Staatliche Kunsthalle"

Berlin, Cercle d’art, 1979

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Staatliche Kunsthalle Berlin vom 14. Januar bis 5. April 1979. Red. und Layout: Dieter Ruckhaberle. 1979. 398 S. Mit zahlr. auch farb. Abb. Originalbroschur. Mit Widmung des Kuenstlers. Einband leicht berieben. – Le Monde: Ein Gespraech mit Ipoustéguy — Biographie — Werkstruktur — Le Monde: Un entretien avec Ipoustéguy — Bibliographie — Discours sous Mistra/Gespraeche unter Mistra — Lewino, W.: Ipoustéguy — La terre/Die Erde — L`homme/Mann — Bouche bée et sonnette/Erstaunliche Geschichte — L`organisation du terrain/Organisierung des Gelaendes — Ecbatane/Ekbatane — Ruckhaberle, D.:Alexander vor Ecbatane/Alexandre — en face d`Ecbatane — Jean Ipoustéguy erlaeutert sein Kunstwerk — Femme au bain/Frau im Bade — Krimmel, B.: Versuch ueber eine Bilderwelt — Fortsetzung: Discours sous Mistra — Fortsetzung: Versuch ueber eine Bilderwelt — Mort du père/Tod des Vaters — Glucksmann, A.: La mort du père (Extrait/Auszug) — Grand, P. M.: Dire l`homme — Ipoustéguy, J.: Leaders et enfants Nus — Ipoustéguy, J.: Sauve qui peut, Robin (Extrait/Auszug) — Bresson, G.: La nudité d`Overney — Kunst fuer Arbeiter, ein Gespraech mit Jean Ipoustéguy — Mort du frère/Tod des Bruders — Bresson, G.: Die Nacktheit von Overney — La maison/Das Haus — L`homme forçant l`unité/Die Menschen erzwingen die Einheit — Haftmann, W.: Jean Ipoustéguy — Radierungen « Heinrich von Kleist » — La maison de Lénine/Lenins Haus — L`agonie de la mere/Agonie der Mutter — Mangeur de Gardiens/Waechterfresser — Hoctin, L.: Mangeur de Gardiens — Hydrorrhage/Brunnen — Ausstellungsverzeichnis — Chronique linéaire de la cellulose à Berlin/Lineare — Geschichte der Zellulose in Berlin — Ipoustéguy zur Ausstellung in der Nationalgalerie 26.6.-17.8.1970 — Troche, M.: Ipoustéguy imprenable — La mort de l`Evêque Newman/Der Tod des Bischof Neumann — Mueller-Hauck, J.: Neumann, Johann Nepomuk — Gespraech mit Ipoustéguy — Scène comique de la vie moderne/Komische Szene aus dem modern …

Couverture du livre "Towards Sculpture" de W.J. Strachan

W.J. Strachan, "Towards Sculpture"

Londres, Thames and Hudson, 1976 (pp. 102-105)

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Depuis 2001 le visiteur se confronte à 40 œuvres majeures de l’artiste et à leur puissance expressive : bronzes monumentaux, marbres intimistes ou œuvres graphiques épurées.

Né en 1920 à Dun-sur-Meuse, Ipoustéguy voit de son vivant ses œuvres entrer dans les plus importantes collections publiques du monde : Tate Britain, Guggenheim, Kunsthalle, Pompidou…, et ses sculptures monumentales installées dans les grandes capitales artistiques : Tokyo, Washington, Paris, Berlin…

Attaché à son « pays » natal, Ipoustéguy, à la fin de sa vie, choisit de revenir sur les lieux de son enfance. Les autorités locales (Communauté de communes et Conseil général en tête) lancent alors un pari fou : créer un centre d’art au cœur d’une zone rurale. Ce sera le « Centre culturel Ipoustéguy ». Refusant d’y rayonner seul, l’artiste obtiendra que des salles d’exposition s’ouvrent à d’autres arts et artistes.

De la Galerie, la visite peut se prolonger à l’Église de Dun-Haut : dans cet écrin du XIVe siècle, attendent – dans le silence et la clarté – deux œuvres mystiques de bronze et de marbre. Point d’orgue bouleversant pour le simple promeneur comme l’inconditionnel d’Ipoustéguy.

Couverture du livre The Hand and eye of the sculptor de Paul Waldo Schwartz

Paul Waldo Schwartz, "The Hand and Eye of the Sculptor"

New York, Frederick A. Praeger Publishers, 1969 (pp. 120-143)

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From DJ « In The Hand and Eye of the Sculptor, Paul Waldo Schwartz records in words and photographs interviews with ten of the most important living Henry Moore, Reg Butler, Marino Marini, Giacomo Manzu, Jean Ipousteguy, Cesar, Edouardo Chillida, Jean Tinguely, Eugene Dodeigne, and Roel d’Haese. Schwarts, who is an art critic and a photojournalist, spent a great deal of time with each sculptor, photographing hiim at work and at leisure and eliciting from him from him candid comments that reveal how he thinks about art in general and his own work in particular. The result is a fascinating visual and verbal commentary on ten major artists. »

Couverture du livre Dictionnaire de la sculpture moderne par Denys Chevalier

Denys Chevalier, "Dictionnaire de la sculpture moderne"

Paris, Fernand Hazan, 1960 (pp. 141-142)

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Depuis 2001 le visiteur se confronte à 40 œuvres majeures de l’artiste et à leur puissance expressive : bronzes monumentaux, marbres intimistes ou œuvres graphiques épurées.

Né en 1920 à Dun-sur-Meuse, Ipoustéguy voit de son vivant ses œuvres entrer dans les plus importantes collections publiques du monde : Tate Britain, Guggenheim, Kunsthalle, Pompidou…, et ses sculptures monumentales installées dans les grandes capitales artistiques : Tokyo, Washington, Paris, Berlin…

Attaché à son « pays » natal, Ipoustéguy, à la fin de sa vie, choisit de revenir sur les lieux de son enfance. Les autorités locales (Communauté de communes et Conseil général en tête) lancent alors un pari fou : créer un centre d’art au cœur d’une zone rurale. Ce sera le « Centre culturel Ipoustéguy ». Refusant d’y rayonner seul, l’artiste obtiendra que des salles d’exposition s’ouvrent à d’autres arts et artistes.

De la Galerie, la visite peut se prolonger à l’Église de Dun-Haut : dans cet écrin du XIVe siècle, attendent – dans le silence et la clarté – deux œuvres mystiques de bronze et de marbre. Point d’orgue bouleversant pour le simple promeneur comme l’inconditionnel d’Ipoustéguy.

Couverture du livre La Sculpture de ce siècle par Michel Seuphor

Michel Seuphor, "La sculpture de ce siècle"

Neufchâtel, Éditions du Griffon, 1959

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Depuis 2001 le visiteur se confronte à 40 œuvres majeures de l’artiste et à leur puissance expressive : bronzes monumentaux, marbres intimistes ou œuvres graphiques épurées.

Né en 1920 à Dun-sur-Meuse, Ipoustéguy voit de son vivant ses œuvres entrer dans les plus importantes collections publiques du monde : Tate Britain, Guggenheim, Kunsthalle, Pompidou…, et ses sculptures monumentales installées dans les grandes capitales artistiques : Tokyo, Washington, Paris, Berlin…

Attaché à son « pays » natal, Ipoustéguy, à la fin de sa vie, choisit de revenir sur les lieux de son enfance. Les autorités locales (Communauté de communes et Conseil général en tête) lancent alors un pari fou : créer un centre d’art au cœur d’une zone rurale. Ce sera le « Centre culturel Ipoustéguy ». Refusant d’y rayonner seul, l’artiste obtiendra que des salles d’exposition s’ouvrent à d’autres arts et artistes.

De la Galerie, la visite peut se prolonger à l’Église de Dun-Haut : dans cet écrin du XIVe siècle, attendent – dans le silence et la clarté – deux œuvres mystiques de bronze et de marbre. Point d’orgue bouleversant pour le simple promeneur comme l’inconditionnel d’Ipoustéguy.

Ouvrages d’Ipoustéguy

Couverture du livre Ipoustéguy Chirurgie par Françoise Monin

Françoise Monin, "Ipoustéguy-Chirurgie"

Paris, Éditions La Différence, 2006

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Reprenant pour thème le corps humain, maintes fois exploré dans ses sculptures, Ipoustéguy a réalisé cette série de grandes toiles dans les années 1966-1967. Divisées en trois groupes Les Chirurgies, Portraits de mon inexistence et Au sein du plaisir, ces peintures revisitent l’impressionnisme grâce à la discontinuité du trait.

Couverture du livre Les Guerres du Milieu d'Ipoustéguy

"Les Guerres du milieu"

Paris, Éditions La Différence, 2006

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A l’âge de vingt-quatre ans, Ipoustéguy découvre Cavalerie rouge d’Isaac Babel. Il est si impressionné par le livre qu’il le relit sans cesse et finit par le connaître par cœur. En France, la guerre s’achève. La violence a pénétré la vie quotidienne des gens. Sous l’emprise de ses lectures et de ce qu’il a vu, Ipoustéguy écrit les trois nouvelles qui composent Les Guerres du milieu. On serait étonné par la maîtrise du récit, le sens gourmand de la langue, la cruauté de l’observation, l’absence de sentimentalité dans le rendu des situations, si on ne savait que le jeune homme d’alors n’était devenu un grand sculpteur. Ipoustéguy n’a pas choisi la littérature comme expression principale, mais, à le lire, on se dit qu’il aurait pu.

Couverture du livre Les Passerelles du purgatoire par Ipoustéguy

"Les Passerelles du Purgatoire"

Paris, Éditions La Différence, 2000

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Depuis 2001 le visiteur se confronte à 40 œuvres majeures de l’artiste et à leur puissance expressive : bronzes monumentaux, marbres intimistes ou œuvres graphiques épurées.

Né en 1920 à Dun-sur-Meuse, Ipoustéguy voit de son vivant ses œuvres entrer dans les plus importantes collections publiques du monde : Tate Britain, Guggenheim, Kunsthalle, Pompidou…, et ses sculptures monumentales installées dans les grandes capitales artistiques : Tokyo, Washington, Paris, Berlin…

Attaché à son « pays » natal, Ipoustéguy, à la fin de sa vie, choisit de revenir sur les lieux de son enfance. Les autorités locales (Communauté de communes et Conseil général en tête) lancent alors un pari fou : créer un centre d’art au cœur d’une zone rurale. Ce sera le « Centre culturel Ipoustéguy ». Refusant d’y rayonner seul, l’artiste obtiendra que des salles d’exposition s’ouvrent à d’autres arts et artistes.

De la Galerie, la visite peut se prolonger à l’Église de Dun-Haut : dans cet écrin du XIVe siècle, attendent – dans le silence et la clarté – deux œuvres mystiques de bronze et de marbre. Point d’orgue bouleversant pour le simple promeneur comme l’inconditionnel d’Ipoustéguy.

"Le Dessin de ma vie"

Paris, Éditions à compte d’auteur, 1999

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Depuis 2001 le visiteur se confronte à 40 œuvres majeures de l’artiste et à leur puissance expressive : bronzes monumentaux, marbres intimistes ou œuvres graphiques épurées.

Né en 1920 à Dun-sur-Meuse, Ipoustéguy voit de son vivant ses œuvres entrer dans les plus importantes collections publiques du monde : Tate Britain, Guggenheim, Kunsthalle, Pompidou…, et ses sculptures monumentales installées dans les grandes capitales artistiques : Tokyo, Washington, Paris, Berlin…

Attaché à son « pays » natal, Ipoustéguy, à la fin de sa vie, choisit de revenir sur les lieux de son enfance. Les autorités locales (Communauté de communes et Conseil général en tête) lancent alors un pari fou : créer un centre d’art au cœur d’une zone rurale. Ce sera le « Centre culturel Ipoustéguy ». Refusant d’y rayonner seul, l’artiste obtiendra que des salles d’exposition s’ouvrent à d’autres arts et artistes.

De la Galerie, la visite peut se prolonger à l’Église de Dun-Haut : dans cet écrin du XIVe siècle, attendent – dans le silence et la clarté – deux œuvres mystiques de bronze et de marbre. Point d’orgue bouleversant pour le simple promeneur comme l’inconditionnel d’Ipoustéguy.

Couverture du livre Chronique des jeunes années par Ipoustéguy

"Chronique des jeunes années"

Paris, Éditions La Différence, 1997

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« Le temps, petit à petit, étreint l’ineffable si proche de notre coeur… Si je me risque aujourd’hui à me raconter, écrit Ipoustéguy, c’est d’abord pour susciter ce coeur ». Et plus loin: « Je persiste à croire qu’à l’instant du trépas, dans le grand bond aussi exaltant qu’une naissance, la pensée quasi immatérielle retourne à la matière plus dense du corps qui s’écroule en un grand soulagement. Tout est parfait. Dans l’expectative de cette ultime perfection, je veux faire oeuvre de volonté et pars à la recherche consciente de la première bobine de mon existence ». C’est donc à la recherche de cette matière d’être qu’Ipoustéguy, le grand sculpteur qui en fait de matière s’y connaît, pour avoir toute sa vie tenté de la domestiquer, de la plier à sa volonté, s’en va cette fois par le chemin des mots. Il nous emmène dans la France des terroirs de Dun-sur-Meuse, dans les Ardennes où il est né, à Saintes et à Saujon, dans l’Est chez son grand-père, menuisier; il nous plonge au coeur des sensations de l’enfance, des premiers apprentissages, dans une langue pleine de rudesse et de saveur.

Couverture du livre L'Ombre est toujours juvénile par Ipoustéguy

"L'Ombre est toujours juvénile"

Mez, Éditions Voix-Richard Meyer, 1995

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Depuis 2001 le visiteur se confronte à 40 œuvres majeures de l’artiste et à leur puissance expressive : bronzes monumentaux, marbres intimistes ou œuvres graphiques épurées.

Né en 1920 à Dun-sur-Meuse, Ipoustéguy voit de son vivant ses œuvres entrer dans les plus importantes collections publiques du monde : Tate Britain, Guggenheim, Kunsthalle, Pompidou…, et ses sculptures monumentales installées dans les grandes capitales artistiques : Tokyo, Washington, Paris, Berlin…

Attaché à son « pays » natal, Ipoustéguy, à la fin de sa vie, choisit de revenir sur les lieux de son enfance. Les autorités locales (Communauté de communes et Conseil général en tête) lancent alors un pari fou : créer un centre d’art au cœur d’une zone rurale. Ce sera le « Centre culturel Ipoustéguy ». Refusant d’y rayonner seul, l’artiste obtiendra que des salles d’exposition s’ouvrent à d’autres arts et artistes.

De la Galerie, la visite peut se prolonger à l’Église de Dun-Haut : dans cet écrin du XIVe siècle, attendent – dans le silence et la clarté – deux œuvres mystiques de bronze et de marbre. Point d’orgue bouleversant pour le simple promeneur comme l’inconditionnel d’Ipoustéguy.

Couverture du livre Le Balmoral des anxieux par Ipoustéguy

"Le Balmoral des anxieux"

Paris, Soleil natal, 1994

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Depuis 2001 le visiteur se confronte à 40 œuvres majeures de l’artiste et à leur puissance expressive : bronzes monumentaux, marbres intimistes ou œuvres graphiques épurées.

Né en 1920 à Dun-sur-Meuse, Ipoustéguy voit de son vivant ses œuvres entrer dans les plus importantes collections publiques du monde : Tate Britain, Guggenheim, Kunsthalle, Pompidou…, et ses sculptures monumentales installées dans les grandes capitales artistiques : Tokyo, Washington, Paris, Berlin…

Attaché à son « pays » natal, Ipoustéguy, à la fin de sa vie, choisit de revenir sur les lieux de son enfance. Les autorités locales (Communauté de communes et Conseil général en tête) lancent alors un pari fou : créer un centre d’art au cœur d’une zone rurale. Ce sera le « Centre culturel Ipoustéguy ». Refusant d’y rayonner seul, l’artiste obtiendra que des salles d’exposition s’ouvrent à d’autres arts et artistes.

De la Galerie, la visite peut se prolonger à l’Église de Dun-Haut : dans cet écrin du XIVe siècle, attendent – dans le silence et la clarté – deux œuvres mystiques de bronze et de marbre. Point d’orgue bouleversant pour le simple promeneur comme l’inconditionnel d’Ipoustéguy.

Couverture du livre Rimbaud l'enfant lettré par Ipoustéguy

"Rimbaud l'Enfant lettré"

Avec Bertrand Tillier, Paris, Cercle d’art, 1991

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Depuis 2001 le visiteur se confronte à 40 œuvres majeures de l’artiste et à leur puissance expressive : bronzes monumentaux, marbres intimistes ou œuvres graphiques épurées.

Né en 1920 à Dun-sur-Meuse, Ipoustéguy voit de son vivant ses œuvres entrer dans les plus importantes collections publiques du monde : Tate Britain, Guggenheim, Kunsthalle, Pompidou…, et ses sculptures monumentales installées dans les grandes capitales artistiques : Tokyo, Washington, Paris, Berlin…

Attaché à son « pays » natal, Ipoustéguy, à la fin de sa vie, choisit de revenir sur les lieux de son enfance. Les autorités locales (Communauté de communes et Conseil général en tête) lancent alors un pari fou : créer un centre d’art au cœur d’une zone rurale. Ce sera le « Centre culturel Ipoustéguy ». Refusant d’y rayonner seul, l’artiste obtiendra que des salles d’exposition s’ouvrent à d’autres arts et artistes.

De la Galerie, la visite peut se prolonger à l’Église de Dun-Haut : dans cet écrin du XIVe siècle, attendent – dans le silence et la clarté – deux œuvres mystiques de bronze et de marbre. Point d’orgue bouleversant pour le simple promeneur comme l’inconditionnel d’Ipoustéguy.

Couverture du livre arc et traits par Ipoustéguy

"Arcs & traits"

Paris, Cercle d’art – D-M Sarver, 1989

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Ipoustéguy reconnaît le dessin comme une des marques les plus révélatrices de notre nature- en ce qui le concerne, la résolution spontanée de ses desseins s’exprime par des traits. Ses œuvres sculptures en particulier, se nourrissent de ces mêmes traits dans la multitude de leurs profils.

C’est après Dans le noir et sous la lune, le deuxième recueil important consacré à ses dessins.

Couverture du livre Sauve qui peut Robin! ou le don hérétique par Ipoustéguy

"Sauve qui peut, Robin ! ou le don hérétique"

Paris, Grasset, 1978

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« La Haine est source. La civilisation qui me porte et me propulse me préfigure en elle. C’est d’un effort frappé de ce péché d’origine que je me tourne désespérément vers l’amour. Ma damnation est sans égale quand je dois évacuer la haine contenue dans la haine, jusqu’à la courtoisie, pour recueillir le précieux dépôt qui scintille au fond, et que l’analyste apparente à l’ordure. Cet enseignement ne concourt-il pas à nous démontrer qu’il ne peut y avoir d’amour heureux ? Que la haine par assouvissement mène seule au bonheur ? A la certitude, à la stabilité ? Enfin aux sociétés éminemment structurées ? Qu’il soit clair que nous allons tenter de préserver l’amour, mobile de notre indispensable mobilité. Ipoustéguy. »

{Ipoustéguy, sculpteur, a obtenu le Grand Prix National des Arts.}

Couverture du livre Ronds dans l'o et le pessimisme par Ipoustéguy

"Ronds dans l'O & le pessimisme"

Rome, Sigart, 1976 (Illustrations sérigraphiques)

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Portfolio de 25 impressions de sérigraphies en couleur, numérotées de 115 à 150, de 56 x 38cm, toutes signées au stylo sur la marge basse. 

Couverture du livre Ronds dans l'o et le pessimisme par Ipoustéguy

"Leaders & enfants nus"

Paris, Soleil Noir, 1969 (Livre-objet comprenant 8 illustrations typographiques sur aluminium)

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Livre-objet ajouré de part en part d’un rond, imageant l’impact d’une balle de pistolet : « Leaders et enfants nus dure le temps qu’une balle de pistolet mettra à parcourir sa trajectoire. Tiré page 37 le coup de feu est entendu page 70 et se travail de description accompli page 137 ».

Bibliographie complète

Bibliographie complète

Films et documents audiovisuels

Films et documentaires

"Ipoustéguy, l'Âge de la décision"

Play-Film – Andana Films – INA – Images Plus, 2000, réal. J. Kébadian

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Depuis 2001 le visiteur se confronte à 40 œuvres majeures de l’artiste et à leur puissance expressive : bronzes monumentaux, marbres intimistes ou œuvres graphiques épurées.

Né en 1920 à Dun-sur-Meuse, Ipoustéguy voit de son vivant ses œuvres entrer dans les plus importantes collections publiques du monde : Tate Britain, Guggenheim, Kunsthalle, Pompidou…, et ses sculptures monumentales installées dans les grandes capitales artistiques : Tokyo, Washington, Paris, Berlin…

Attaché à son « pays » natal, Ipoustéguy, à la fin de sa vie, choisit de revenir sur les lieux de son enfance. Les autorités locales (Communauté de communes et Conseil général en tête) lancent alors un pari fou : créer un centre d’art au cœur d’une zone rurale. Ce sera le « Centre culturel Ipoustéguy ». Refusant d’y rayonner seul, l’artiste obtiendra que des salles d’exposition s’ouvrent à d’autres arts et artistes.

De la Galerie, la visite peut se prolonger à l’Église de Dun-Haut : dans cet écrin du XIVe siècle, attendent – dans le silence et la clarté – deux œuvres mystiques de bronze et de marbre. Point d’orgue bouleversant pour le simple promeneur comme l’inconditionnel d’Ipoustéguy.

"Histoires d'une sculpture"

Consulter la partie 2.

Delamare Productions, 1980, réal. J. Kébadianet F. Prenant

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Depuis 2001 le visiteur se confronte à 40 œuvres majeures de l’artiste et à leur puissance expressive : bronzes monumentaux, marbres intimistes ou œuvres graphiques épurées.

Né en 1920 à Dun-sur-Meuse, Ipoustéguy voit de son vivant ses œuvres entrer dans les plus importantes collections publiques du monde : Tate Britain, Guggenheim, Kunsthalle, Pompidou…, et ses sculptures monumentales installées dans les grandes capitales artistiques : Tokyo, Washington, Paris, Berlin…

Attaché à son « pays » natal, Ipoustéguy, à la fin de sa vie, choisit de revenir sur les lieux de son enfance. Les autorités locales (Communauté de communes et Conseil général en tête) lancent alors un pari fou : créer un centre d’art au cœur d’une zone rurale. Ce sera le « Centre culturel Ipoustéguy ». Refusant d’y rayonner seul, l’artiste obtiendra que des salles d’exposition s’ouvrent à d’autres arts et artistes.

De la Galerie, la visite peut se prolonger à l’Église de Dun-Haut : dans cet écrin du XIVe siècle, attendent – dans le silence et la clarté – deux œuvres mystiques de bronze et de marbre. Point d’orgue bouleversant pour le simple promeneur comme l’inconditionnel d’Ipoustéguy.

"Ipoustéguy et son œuvre sculpté"

INA, 1976, réal. J. Kébadian et F. Renberg
(Extrait)

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Depuis 2001 le visiteur se confronte à 40 œuvres majeures de l’artiste et à leur puissance expressive : bronzes monumentaux, marbres intimistes ou œuvres graphiques épurées.

Né en 1920 à Dun-sur-Meuse, Ipoustéguy voit de son vivant ses œuvres entrer dans les plus importantes collections publiques du monde : Tate Britain, Guggenheim, Kunsthalle, Pompidou…, et ses sculptures monumentales installées dans les grandes capitales artistiques : Tokyo, Washington, Paris, Berlin…

Attaché à son « pays » natal, Ipoustéguy, à la fin de sa vie, choisit de revenir sur les lieux de son enfance. Les autorités locales (Communauté de communes et Conseil général en tête) lancent alors un pari fou : créer un centre d’art au cœur d’une zone rurale. Ce sera le « Centre culturel Ipoustéguy ». Refusant d’y rayonner seul, l’artiste obtiendra que des salles d’exposition s’ouvrent à d’autres arts et artistes.

De la Galerie, la visite peut se prolonger à l’Église de Dun-Haut : dans cet écrin du XIVe siècle, attendent – dans le silence et la clarté – deux œuvres mystiques de bronze et de marbre. Point d’orgue bouleversant pour le simple promeneur comme l’inconditionnel d’Ipoustéguy.

"Ipoustéguy, l'Homme qui déménage"

2003, réal. Alain Riès

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Nous sommes en 2003 – Après 55 années passées dans ses ateliers de Choisy-Le-Roi, le sculpteur Ipoustéguy retourne vivre à Dun-Sur-Meuse, son village natal et s’installe à quelques centaines de mètres de la maison qui l’a vu naître.
Musiques : Patricia Dallio – http://www.patriciadallio.com/

"Dans mon jardin, j'ai vu mon ombre"

2010, réal. Despatin & Gobeli, pour l’exposition « Le 35 rue Chevreul »

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Extrait de l’article « Ipoustéguy » écrit par Jeanne Fayard Catalogue « Ipoustéguy II » lu par Marcel Bozonnet comédien et ancien administrateur général de la Comédie Française enregistré par Rémy Peray L’Ecrit du Son Musique Hugues Le Bars poème chinois / extrait disque « j’en ai marre » / itunes / Nos remerciements Au Service Municipal d’Arts Plastiques de la Mairie de Choisy le Roi et à tous ceux qui figurent dans ce film : Ipoustéguy, Sylvie Constantinou, Hervé Moigne, Tiphaine Gobeli, Charlotte et Colette Le Gallou, Marcel Bozonnet, Jacques Kébadian, Renan Polles….. Prises de vue réalisées en juin, juillet et août 1981 Montage 2010 à l’occasion de l’exposition, « le 35, rue Chevreul » © Despatin & Gobeli 2010

"La Mort du Père"

1974-2022, Gallix productions, réal. B. Renaudineau

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Un parcours dans la sculpture monumentale d’Ipoustéguy montrant papes et évêques. La voix du père du sculpteur rappelant ses souvenirs de guerre ponctue cette vision.

www.gallixproduction.fr

"À la santé de la révolution"

Périphérie production, 1989, réal. J. Kébadian
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Depuis 2001 le visiteur se confronte à 40 œuvres majeures de l’artiste et à leur puissance expressive : bronzes monumentaux, marbres intimistes ou œuvres graphiques épurées.

Né en 1920 à Dun-sur-Meuse, Ipoustéguy voit de son vivant ses œuvres entrer dans les plus importantes collections publiques du monde : Tate Britain, Guggenheim, Kunsthalle, Pompidou…, et ses sculptures monumentales installées dans les grandes capitales artistiques : Tokyo, Washington, Paris, Berlin…

Attaché à son « pays » natal, Ipoustéguy, à la fin de sa vie, choisit de revenir sur les lieux de son enfance. Les autorités locales (Communauté de communes et Conseil général en tête) lancent alors un pari fou : créer un centre d’art au cœur d’une zone rurale. Ce sera le « Centre culturel Ipoustéguy ». Refusant d’y rayonner seul, l’artiste obtiendra que des salles d’exposition s’ouvrent à d’autres arts et artistes.

De la Galerie, la visite peut se prolonger à l’Église de Dun-Haut : dans cet écrin du XIVe siècle, attendent – dans le silence et la clarté – deux œuvres mystiques de bronze et de marbre. Point d’orgue bouleversant pour le simple promeneur comme l’inconditionnel d’Ipoustéguy.

"Oeuf noir du soldat blanc"

INA, 1968, réal. J. Kébadian et F. Renberg

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Depuis 2001 le visiteur se confronte à 40 œuvres majeures de l’artiste et à leur puissance expressive : bronzes monumentaux, marbres intimistes ou œuvres graphiques épurées.

Né en 1920 à Dun-sur-Meuse, Ipoustéguy voit de son vivant ses œuvres entrer dans les plus importantes collections publiques du monde : Tate Britain, Guggenheim, Kunsthalle, Pompidou…, et ses sculptures monumentales installées dans les grandes capitales artistiques : Tokyo, Washington, Paris, Berlin…

Attaché à son « pays » natal, Ipoustéguy, à la fin de sa vie, choisit de revenir sur les lieux de son enfance. Les autorités locales (Communauté de communes et Conseil général en tête) lancent alors un pari fou : créer un centre d’art au cœur d’une zone rurale. Ce sera le « Centre culturel Ipoustéguy ». Refusant d’y rayonner seul, l’artiste obtiendra que des salles d’exposition s’ouvrent à d’autres arts et artistes.

De la Galerie, la visite peut se prolonger à l’Église de Dun-Haut : dans cet écrin du XIVe siècle, attendent – dans le silence et la clarté – deux œuvres mystiques de bronze et de marbre. Point d’orgue bouleversant pour le simple promeneur comme l’inconditionnel d’Ipoustéguy.

"Apsaras"

La 7 – FR3 – CNRS, 1988, réal. J. Kébadian

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Depuis 2001 le visiteur se confronte à 40 œuvres majeures de l’artiste et à leur puissance expressive : bronzes monumentaux, marbres intimistes ou œuvres graphiques épurées.

Né en 1920 à Dun-sur-Meuse, Ipoustéguy voit de son vivant ses œuvres entrer dans les plus importantes collections publiques du monde : Tate Britain, Guggenheim, Kunsthalle, Pompidou…, et ses sculptures monumentales installées dans les grandes capitales artistiques : Tokyo, Washington, Paris, Berlin…

Attaché à son « pays » natal, Ipoustéguy, à la fin de sa vie, choisit de revenir sur les lieux de son enfance. Les autorités locales (Communauté de communes et Conseil général en tête) lancent alors un pari fou : créer un centre d’art au cœur d’une zone rurale. Ce sera le « Centre culturel Ipoustéguy ». Refusant d’y rayonner seul, l’artiste obtiendra que des salles d’exposition s’ouvrent à d’autres arts et artistes.

De la Galerie, la visite peut se prolonger à l’Église de Dun-Haut : dans cet écrin du XIVe siècle, attendent – dans le silence et la clarté – deux œuvres mystiques de bronze et de marbre. Point d’orgue bouleversant pour le simple promeneur comme l’inconditionnel d’Ipoustéguy.

"Ipoustéguy dans son jardin"

2022, conception B. Renaudineau

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Depuis 2001 le visiteur se confronte à 40 œuvres majeures de l’artiste et à leur puissance expressive : bronzes monumentaux, marbres intimistes ou œuvres graphiques épurées.

Né en 1920 à Dun-sur-Meuse, Ipoustéguy voit de son vivant ses œuvres entrer dans les plus importantes collections publiques du monde : Tate Britain, Guggenheim, Kunsthalle, Pompidou…, et ses sculptures monumentales installées dans les grandes capitales artistiques : Tokyo, Washington, Paris, Berlin…

Attaché à son « pays » natal, Ipoustéguy, à la fin de sa vie, choisit de revenir sur les lieux de son enfance. Les autorités locales (Communauté de communes et Conseil général en tête) lancent alors un pari fou : créer un centre d’art au cœur d’une zone rurale. Ce sera le « Centre culturel Ipoustéguy ». Refusant d’y rayonner seul, l’artiste obtiendra que des salles d’exposition s’ouvrent à d’autres arts et artistes.

De la Galerie, la visite peut se prolonger à l’Église de Dun-Haut : dans cet écrin du XIVe siècle, attendent – dans le silence et la clarté – deux œuvres mystiques de bronze et de marbre. Point d’orgue bouleversant pour le simple promeneur comme l’inconditionnel d’Ipoustéguy.

"Centenaire de la naissance, Ipoustéguy", teaser

Teaser des expositions du Grand Est, conception L. Bailly

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Depuis 2001 le visiteur se confronte à 40 œuvres majeures de l’artiste et à leur puissance expressive : bronzes monumentaux, marbres intimistes ou œuvres graphiques épurées.

Né en 1920 à Dun-sur-Meuse, Ipoustéguy voit de son vivant ses œuvres entrer dans les plus importantes collections publiques du monde : Tate Britain, Guggenheim, Kunsthalle, Pompidou…, et ses sculptures monumentales installées dans les grandes capitales artistiques : Tokyo, Washington, Paris, Berlin…

Attaché à son « pays » natal, Ipoustéguy, à la fin de sa vie, choisit de revenir sur les lieux de son enfance. Les autorités locales (Communauté de communes et Conseil général en tête) lancent alors un pari fou : créer un centre d’art au cœur d’une zone rurale. Ce sera le « Centre culturel Ipoustéguy ». Refusant d’y rayonner seul, l’artiste obtiendra que des salles d’exposition s’ouvrent à d’autres arts et artistes.

De la Galerie, la visite peut se prolonger à l’Église de Dun-Haut : dans cet écrin du XIVe siècle, attendent – dans le silence et la clarté – deux œuvres mystiques de bronze et de marbre. Point d’orgue bouleversant pour le simple promeneur comme l’inconditionnel d’Ipoustéguy.

Exposition "Monumental"

2020, Département de la Meuse

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Partez à la découverte d’Ipoustéguy de ses œuvres, sculptures, peintures…

Ipoustéguy (Jean Robert, dit Ipoustéguy), un des sculpteurs majeurs de la seconde moitié du XXe siècle. Né en 1920 à Dun-sur-Meuse (Lorraine), il s’éteint dans sa ville natale en 2006.
Solitaire, il n’a suivi, ni initié, aucun courant, aucune école. Le Robert des noms propres le présente comme d’un «réalisme baroque et hallucinatoire».
Insatiable travailleur, il réalisera 600 sculptures, des centaines d’aquarelles, de dessins, de peintures. Pour beaucoup, ses œuvres monumentales sont visibles à travers le monde dans les plus grandes collections publiques.
Farouchement indépendant, il en paye le prix toute sa vie… et au-delà : trop absent des ouvrages de références, il n’a toujours pas reçu l’hommage public qu’il mérite. Admiré, controversé ; bouleversant ou dérangeant. Ipoustéguy ne laisse personne indifférent : le public en général, qu’il sait toucher par ses thèmes universels. Les intellectuels ou les artistes, par sa puissance expressive.
Le célèbre romancier américain John Updike dira d’Ipoustéguy en 1989, dans son ouvrage Un simple regard qu’Ipoustéguy était « le plus grand sculpteur français vivant ». »

Exposition "Les Érotiques"

2021, Département de la Meuse. Découvrir le livret de l’exposition.

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Partez à la découverte d’Ipoustéguy de ses œuvres, sculptures, peintures, érotiques…

« Autour du monument de 1972 Gange fleuve des mythes (410 cm), ce cabinet constitué de marbres, bronzes et dessins, révèle d’Ipoustéguy l’œuvre érotique, épanoui à l’issue d’un séjour en Inde.
Vénus callipyge allongée (Viens, 1966), ou couple uni (La brouette, 1970), avec humour, l’artiste
représente des formes suggestives. Taillées dans le marbre ou créées par assemblages d’objets
récupérés, voici aussi des plantes en forme de sexes; et encore, la série de gants et alvéoles en marbre (1971), qui nous invite à braver l’interdit posé dans les musées: toucher les sculptures, explorer avec les mains leurs profondeurs et leurs protubérances, pénétrer avec les doigts dans
les plis. Les dessins présentés, quant à eux, d’une grande simplicité et détermination, nous mettent en face de scènes d’accouplement; sans vulgarité aucune, tant le trait semble précis et sûr de lui. »

"Ce que l'on devine dans l'ombre..."

2021, Département de la Meuse. Consulter la partie 2

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Autour du monument de 1972 Gange fleuve des mythes (410 cm), ce cabinet constitué de marbres, bronzes et dessins, révèle d’Ipoustéguy l’œuvre érotique, épanoui à l’issue d’un séjour en Inde.

Vénus callipyge allongée (Viens, 1966), ou couple uni (La brouette, 1970), avec humour, l’artiste représente des formes suggestives. Taillées dans le marbre ou créées par assemblages d’objets récupérés, voici aussi des plantes en forme de sexes; et encore, la série de gants et alvéoles en marbre (1971), qui nous invite à braver l’interdit posé dans les musées: toucher les sculptures, explorer avec les mains leurs profondeurs et leurs protubérances, pénétrer avec les doigts dans les plis. Les dessins présentés, quant à eux, d’une grande simplicité et détermination, nous mettent en face de scènes d’accouplement; sans vulgarité aucune, tant le trait semble précis et sûr de lui.

"Centenaire Ipoustéguy, les choix de Claire Paillé" (Musée barrois)

2020, 10 pastilles conçues par L. Bailly autour de l’exposition “Ipoustéguy, peintures et dessins”

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« Ipoustéguy. Peintures et dessins » au Musée barrois, du 17 juin au 15 novembre 2020.
Commissaire : Claire Paille, directrice du Musée barrois.

Autour du stupéfiant monument en céramique Mangeur de gardiens (1970, 400x200x70cm), offert au Département de la Meuse par les héritiers de l’artiste et déposé dans ce musée, voici des dessins et des peintures, choisis pour leur aspect bucolique. Des surprises, car cet artiste est plus fameux pour ses grands bronzes, interrogeant la résistance, la splendeur et la vulnérabilité du corps humain.

Subtils, 5 grandes toiles et 10 dessins évoquent l’esprit des formes, à travers des thèmes tels que le dernier repas du Christ (Cène des évangélistes, 1966) ou la mort du toréador (Manolete, 1967).

Minimales, flirtant parfois avec l’abstraction, 20 aquarelles, dessins ou gravures, des années 1970 à 2000, célèbrent la courbe, à travers des évocations de cœurs de fleurs ou de silhouettes d’arbres, Platane ou Sapin.

Les sculptures présentées – 11 petits formats de la fin de la vie de l’artiste – subliment quant à elles l’éclat des fruits (Poire en l’air), les mouvements du ciel (Nuages) et les lieux du secret (Rayon de lune).

Cette exposition propose une rencontre intime avec l’aspect le plus poétique de l’œuvre d’Ipoustéguy

"Un déménagement annoncé"

2007, Ville de Choisy-le-Roi, Film de Marianne Montchougny

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Depuis 2001 le visiteur se confronte à 40 œuvres majeures de l’artiste et à leur puissance expressive : bronzes monumentaux, marbres intimistes ou œuvres graphiques épurées.

Né en 1920 à Dun-sur-Meuse, Ipoustéguy voit de son vivant ses œuvres entrer dans les plus importantes collections publiques du monde : Tate Britain, Guggenheim, Kunsthalle, Pompidou…, et ses sculptures monumentales installées dans les grandes capitales artistiques : Tokyo, Washington, Paris, Berlin…

Attaché à son « pays » natal, Ipoustéguy, à la fin de sa vie, choisit de revenir sur les lieux de son enfance. Les autorités locales (Communauté de communes et Conseil général en tête) lancent alors un pari fou : créer un centre d’art au cœur d’une zone rurale. Ce sera le « Centre culturel Ipoustéguy ». Refusant d’y rayonner seul, l’artiste obtiendra que des salles d’exposition s’ouvrent à d’autres arts et artistes.

De la Galerie, la visite peut se prolonger à l’Église de Dun-Haut : dans cet écrin du XIVe siècle, attendent – dans le silence et la clarté – deux œuvres mystiques de bronze et de marbre. Point d’orgue bouleversant pour le simple promeneur comme l’inconditionnel d’Ipoustéguy.

"Le Nom des Gens"

Le Nom des gens, 2010, film de Michel Leclerc avec Sara Forestier et Jacques Gamblin.

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Dans deux scènes tournées dans le parc de Bagnolet, on aperçoit À la Santé de la Révolution.

Interviews radio et documents audio

Entretien avec Jean Daive

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Entretien avec José Arthur

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Montage de J.P. Hélas pour le Centenaire Ipoustéguy

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Expositions – Collections publiques – Prix

Expositions personnelles

Expositions collectives