Ipousteguy

1920 – 2006

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Biographie

L’Artiste sculpteur Ipoustéguy

Solitaire, il n’a suivi, ni initié, aucun courant, aucune école. Le Robert des noms propres le présente comme d’un «réalisme baroque et hallucinatoire».

Insatiable travailleur, il réalisera 600 sculptures, des centaines d’aquarelles, de dessins, de peintures. Pour beaucoup, ses œuvres monumentales sont visibles à travers le monde dans les plus grandes collections publiques.

Le mangeur de Gardiens

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L'Homme

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La femme au bain

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Galerie

Les Oeuvres d’un artiste français

Leurs photographies posent un regard artistique et intime sur le sculpteur et ses œuvres. Elles sont un témoignage unique sur l’homme et son travail.

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Pierre Gaudibert, « Plan séquence »

Pierre Gaudibert, « Plan séquence »

En cette année 1978, celle des cinquante-huit ans d'Ipoustéguy et de son importante rétrospective (provisoire) à Paris, quelle est la personnalité humaine et artistique intimement liée ? Aidons-nous de toutes les approches possibles, écrites ou orales, des échanges...

Françoise Monnin, « Ipoustéguy Monumental »

Françoise Monnin, « Ipoustéguy Monumental »

« C’est du lourd » : telle est souvent l’expression familière qui surgit, à l’évocation d’Ipoustéguy. De fait, les monuments que ce maître a essaimés des États-Unis jusqu’au Japon, en Allemagne et en France notamment, frappent d’abord par l’ambition de leurs dimensions – 20 mètres parfois – et par la puissance des figures mises en scène.

Flavio Arensi, « Le Présent d’Ipoustéguy »

Flavio Arensi, « Le Présent d’Ipoustéguy »

La difficulté, aujourd’hui, de présenter Ipoustéguy (1920-2006) pourrait avoir un rapport avec la crise même de la sculpture, si l’on retient du mot «crise» sa valeur étymologique de pli décisif, et si l’on entend comme sculpture la pratique consistant à réaliser un objet pour le situer dans un environnement. L’obstacle dérive de la complication de définir certains mots et de préciser l’écart entre leur sens passé et celui que chacun d’eux possède actuellement: rien n’est plus trompeur que l’usage de mots identiques qui recouvrent des notions dissemblables; surtout depuis que les installations sculpturales remplacent de plus en plus la simple occupation de l’espace par une participation active, déplaçant l’intérêt de l’objet vers le lieu qu’il occupe. La tentative de Kurt Schwitters (1887-1948) d’agréger la matière à l’espace dans le Merzbau à Hanovre à partir des années vingt jusque vers la fin de la décennie suivante, témoigne des premières urgences conceptuelles concernant une prise d’espace progressive du produit sculptural, qu’Ipoustéguy lui aussi considère, peut-être en termes plus architecturaux, mais sans jamais vraiment abandonner la pré- supposition de la sculpture comme métier d’«artisan», dans sa signification authentique de création d’un ouvrage d’art.

Image I

« Peindre ou sculpter, c’est être plein et entier. La peinture et la sculpture permettent de «faire» en restant seul. Sans perdre son intégrité. Ce sont des choses avec soi-même. »

IPOUSTÉGUY

Artiste

Ipoustéguy dans son atelier
L'agonie de la mère
La conception
Hydorrage
Ipoustéguy
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